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Six flèches contre la Turquie/ apologie de la pensée unique

 
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Cuneytbelmondo
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Inscrit le: 29 Jan 2010
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Localisation: Paristanbul

MessagePosté le: 14 Jan 2012 17:19    Sujet du message: Six flèches contre la Turquie/ apologie de la pensée unique Répondre en citant

Un billet de la version française du journal officiel de Fethullah Gülen, Zaman. A l'heure où les fêtes nationales héritées d'Atatürk sont sur le point d'être interdites...On peut tirer désormais à boulets rouges sur le kémalisme et les valeurs de la république.
Bourré de mensonges et se dissimulant à peine derrière leur gourou. Le journal officiel du pouvoir neo-ottoman.

Six flèches contre la Turquie

Les accusations portées, en France, contre le gouvernement turc à propos de la question arménienne et du traitement des minorités occultent, dans leurs finalités politiques, la réalité de l’histoire. Pour Jean-Michel Cros, diplômé en sciences politiques et chercheur sur l’islam contemporain, ces attaques feignent d’ignorer qu’« en Turquie, la laïcité kémaliste fut à l’opposé du pluralisme de l’Empire ottoman. »

Les carquois sont garnis, les arcs bandés : tout est bon pour tirer sur la Turquie. Une offensive médiatique est déclenchée qui, par ses excès, dénature la cause qu’elle prétend servir, celle de la liberté et de la démocratie ; la Turquie étant présentée comme écrasant désormais les libertés individuelles et ses minorités, inspirée par un maître à penser tout puissant qui tirerait les ficelles depuis la Pennsylvanie… Quelles sont ces six flèches ? L’islamisme : quoi que fasse le gouvernement, tout est interprété à cette aune, l’ombre de la République islamique planant sur la Turquie. Que les progrès réalisés en matière démocratique aient plus progressé en 10 ans qu’au cours des 70 précédents ne trouble pas nos pleureuses affligées… La mémoire gommeuse : que la Turquie était belle au ciel de Messidor ! Républicaine et laïque, elle serait aujourd’hui une vaste prison. Que disait Bozkurt, ministre de la Justice en 1930 ? : « Que tous les amis, les ennemis et les montagnes sachent bien que le maître de ce pays, c’est le Turc. Ceux qui ne sont pas de purs Turcs n’ont qu’un seul droit dans la patrie turque : c’est le droit d’être le serviteur, c’est le droit à l’esclavage ! » Cela ne semble guère émouvoir nos pleureuses, pas plus que la campagne de destruction des campagnes kurdes menée après la révolte d’Ararat (1927-1930), suivie de la déportation de 20.000 Kurdes.

Fethullah Gülen défend l’enseignement du kurde
La mauvaise foi : selon un article publié sur Mediapart par M. Azadi, « Les écoles et les foyers de cette confrérie [le mouvement Gülen] dans la région kurde mènent une politique d’assimilation des Kurdes, sans jamais reconnaître la légitimité de leurs revendications. » Or, toute personne de bonne foi sait que les « écoles Gülen » sont privées, payantes et qu’on y enseigne les programmes scolaires. En outre, Fethullah Gülen défend l’enseignement du kurde dans le public en rappelant que « même aux États-Unis, les écoles proposent des cours de kurde en option. » La désinformation : un groupe de travail, intitulé « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie », semble avoir un peu laissé filer sa plume : « Le simple fait de publier des ouvrages sur la diversité culturelle de la société turque, sur les structures de l’Etat, sur l’histoire des minorités (incluant le génocide des Arméniens) peut désormais être retenu contre leurs auteurs et les conduire en prison dans l’attente d’un interminable procès. » Penchons-nous sur le cas du génocide arménien. Qui a fait les premiers procès contre des militaires accusés de massacres ? Le gouvernement de Damad Ferid Pacha, à la fin de l’Empire ; qui a mis un « black out » sur cette question ? Le régime kémaliste. Qui a dépénalisé l’usage de la langue kurde et a permis l’existence de chaînes de télévision en kurde et l’élection de députés kurdes ? Sous quel gouvernement ont été publiés les « Carnets » de Talat pacha qui apportent un éclairage nouveau ? L’AKP. Alors, de qui se moque-t-on ? L’ombre de la dictature : c’est encore oublier l’histoire et le sort fait aux minorités depuis les années 30 : en Turquie, la laïcité kémaliste fut à l’opposé du pluralisme de l’Empire ottoman : dès les négociations pour le traité de Lausanne, la délégation turque, conduite par I. Inönü, s’opposa farouchement à l’octroi du statut de minorité aux groupes musulmans non sunnites ; en 1942 fut créé un « impôt sur la fortune », destiné à spolier les Arméniens, les Grecs et les Juifs, suivi de pogroms… J’aurais aimé, pour qu’elles fussent plus crédibles, la mise en perspective des accusations contemporaines avec l’histoire récente.

Paris derrière les attaques anti-Gülen ?
La théorie du complot enfin : selon l’article de Mediapart précité, c’est Fethullah Gülen « qui gouverne maintenant la Turquie », le PKK prétendant « détenir des documents sur l’“Ergenekon vert”, ajoutant être prêt à les rendre à des journalistes “courageux” qui n’hésiteraient pas à [les] publier. » J’ai appris qu’il y avait deux choses à ne jamais croire sur les politiques : la première c’est que l’on a un dossier, la deuxième c’est qu’ils sont malades. Si l’on avait un dossier sur eux, on le sortirait ; s’ils étaient malades, ils seraient morts. Plus sérieusement, cette théorie du complot « güleniste » n’est pas nouvelle, comme je le soulignais dans mon article « Le grand méchant loup, ou comment se fait l’information », publié sur Oumma.com. Mais cette accusation est d’autant plus grotesque lorsque l’on connaît le parcours des actuels dirigeants turcs, qui sont issus du Milli Görüş et du Fazilet Partisı et non du mouvement Gülen ! La question qui se pose demeure la suivante : pourquoi des attaques convergentes aussi violentes depuis quelques mois ? La réponse n’est peut-être pas à chercher en Turquie, mais en France…

http://www.zamanfrance.fr/article/six-fl%C3%A8ches-contre-la-turquie
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Cuneytbelmondo
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Localisation: Paristanbul

MessagePosté le: 14 Jan 2012 17:33    Sujet du message: Répondre en citant

A propos de ces journalistes "courageux".
Mensonges sur mensonges et manipulations.
Autre extrait du torchon Zaman.



Fethullah Gülen est-il intouchable ?

Les arrestations de journalistes dans l’affaire Ergenekon ont relancé les déclarations de complot autour de la personne de Fethullah Gülen, accusé de faire arrêter ses contradicteurs. Une accusation pourtant invalidée par les nombreux livres critiques publiés contre Gülen et pour lesquels les auteurs n’ont subi aucune pression.

Un tribunal d’Istanbul vient d’accepter les actes d’accusation contre les journalistes Ahmet Þık et Nedim Þener, qui sont soupçonnés d’avoir aidé le réseau Ergenekon à renverser le gouvernement AKP. L’acte d’accusation indique que le réseau Ergenekon, dont les journalistes seraient eux-mêmes membres, avait constitué une branche « médias » pour « orienter l’opinion publique », en s’assurant notamment que « des actions de provocation aient une résonance sensationnelle dans la société. » En mars, un tribunal avait ordonné la saisie de copies des brouillons d’un essai d’Ahmet Þık portant sur l’infiltration de la police par le mouvement Gülen, estimant que l’ouvrage constituait « un document (...) faisant clairement de la propagande pour une organisation terroriste » dans une allusion à Ergenekon. L’affaire avait alors provoqué une vive polémique en Turquie et à l’étranger. Si la justice affi rmait déjà disposer de preuves qui établiraient des liens directs entre les journalistes inculpés et le réseau Ergenekon, pour l’opposition il s’agissait d’une atteinte à la liberté de la presse. Le débat avait notamment soulevé la question de la possibilité de critiquer le penseur musulman Fethullah Gülen que le livre écrit par Ahmet Þık ciblait directement. Pourtant, les dernières charges retenues par la justice ainsi que l’ampleur de la critique dont Gülen et le mouvement dont il est l’inspirateur sont déjà l’objet remettent en question ces craintes. Ceci en dépit des propos de l’avocat d’Ahmet Þık, Bülent Utku, qui avait déclaré que « son client a été arrêté à cause d’un livre qu’il a récemment commencé à rédiger et qu’il souhaite intituler İmamın Ordusu (L’armée de l’imam). » Il expliquait alors que ce livre « décrit comment le mouvement Gülen est fermement ancré au sein de l’Etat. » Le 3 mars 2011, d’autres journalistes ont été arrêtés suite à des perquisitions effectuées à leur domicile et sont tous sont accusés d’avoir aidé le réseau Ergenekon. Le tribunal a donc confisqué le manuscrit L’armée de l’imam au cours de la perquisition effectuée au domicile d’Ahmed Þık car sa publication pourrait « servir les objectifs de l’organisation armée Ergenekon et pourrait empêcher un procès équitable. »

Un livre pour « dévaloriser l’enquête sur Ergenekon »

Le rapport de police, rendu public le 16 mars 2011, indique que le manuscrit d’Ahmet Þık intitulé L’armée de l’imam a été saisi ainsi que de nombreux autres documents informatiques lors d’une perquisition à Oda TV le 14 février 2001. Le rapport ajoutait que le document « Ulusal Medya 2010 » détaille « la stratégie actuelle de l’organisation terroriste Ergenekon tandis que les documents Word « Nedim » et « Hanefi » contiennent des informations prouvant que le livre de Hanefi Avcı Haliçte Yaşayan Simonlar (Les Simons de la Corne d’or) a été rédigé sur ordre d’Ergenekon. Le document Word « Sabri Uzun » comprend notamment cette note de lecture : « Sabri a des réserves à propos du sujet du livre, essayons de le convaincre. Il faut forcer Ahmet à travailler. Essaie de convaincre Sabri d’être cité comme auteur. Il faut se dépêcher, ce livre doit être prêt avant les élections. » Le rapport de police conclut en indiquant que « ces différents éléments prouvent que le livre L’armée de l’imam est une commande d’Ergenekon rédigé par Ahmet Þık, Nedim Þener, Soner Yalçın, Sabri Uzun et l’équipe d’Oda TV ainsi que par d’autres suspects non identifiés pour le moment. » Le rapport de police de 49 pages annonçait aussi que ce livre était un projet préparé en accord avec les stratégies évoquées dans le document « Ulusal Medya 2010 », avec pour objectif d’invalider l’enquête Ergenekon aux yeux du public. Le brouillon saisi par le procureur chargé de l’affaire, Zekeriya Öz, a été téléchargé le 31 mars 2011sur internet lors d’une campagne de désobéissance civile, reprochant au mouvement Gülen de contrôler l’appareil étatique. Ces allégations ne sont pas récentes. Des journalistes et des écrivains, qui ont observé l’intérêt croissant envers Fethullah Gülen depuis les années 1980, ont fait de nombreuses critiques envers le mouvement dont il est l’inspirateur et ont publié des articles et des livres très désobligeants. L’argument suivant lequel tous ceux qui critiquent Fethullah Gülen sont condamnés est-il valable ? Que sont devenus ceux qui l’ont critiqué ?

Les livres anti-Gülen, un fillon commercial

La personne la plus à même de répondre à cette question est İsmail Arlı, propriétaire depuis 2003 de Togan Publishing. M. Arlı avait envoyé des enregistrements qui, selon lui, appartenaient à la chaîne de télévision privée de Gülen lors du coup d’Etat du 28 février 1997. Il avait aussi publié, entre autres, plusieurs livres qui critiquent Fethullah Gülen et le mouvement du même nom dont : Kanla Abdest Alanlar( Ceux qui font leurs ablutions avec du sang) d’Ergün Poyraz (2007), Cemaatin Copları (Les bâtons de Cemaat) de Zübeyir Kandıra (2010), « cemaat » étant le terme utilisé par les critiques et les adversaires de Gülen pour désigner le mouvement, AKP ve Gülen’i Kurtarma Planı: Made in CIA ( Le projet pour sauver l’AKP et Gülen : Made in USA) de Serdar Öztürk (2011) ou encore Nurjuvazi’ d’Eren Erdem en 2011, « nurcu » étant également un terme utilisé pour désigner les membres du mouvement. M. Arlı nous indique qu’il n’a jamais dû faire face à des pressions ou à des poursuites à cause de ces livres qui se sont d’ailleurs très bien commercialisés. Le livre de Zübeyir Kandira s’est vendu à 8.000 exemplaires et les ventes continuent à l’heure actuelle. « Le nombre total de livres anti-Gülen vendus dépasse les 30.000 exemplaires » ajoute-til. Arlı a remarqué que le manuscrit de Þık comprend 40 pages extraites du livre Cemaatin Copları. Après avoir lu un passage de l’armée de l’imam sur internet, l’auteur du livre a demandé à M. Arlı, son éditeur, de porter plainte pour plagiat contre Þık.



Faire ou ne pas faire du journalisme

Les ouvrages critiques publiés sur la vie et le mouvement de Fethullah Gülen ne sont pas tous du même acabit. Si le travail de Saygı Öztürk journaliste à la chaîne Samanyolu TV s’appuie sur des méthodes journalistiques, celui d’Ahmet Þık et de Nedim Þener, impliqués dans l’affaire Ergenekon, est tout autre.

De nombreux écrivains et journalistes turcs ont publié des articles ou des ouvrages très critiques à l’encontre de Fethullah Gülen. Saygı Öztürk, un vieux routier du journalisme, en fait partie, avec son livre Okyanus Ötesindeki Vaiz (Le prêcheur de l’autre côté de l’océan) publié par Doğan Books en 2010. Öztürk indique que ce livre s’est vendu à 25.000 exemplaires en un an, en ajoutant que ses livres sont tous fondés sur des preuves et des sources et qu’il interroge les personnes concernées avant de les publier. Il n’a jamais été accusé de quoi que ce soit, exception faite de violation de confidentialité. Saygı Öztürk, actuellement en poste à la chaîne de télévision Samanyolu TV, considère que ce type de travail doit reposer avant toute chose sur des pratiques et une éthique professionnelles. « Ma seule préoccupation est le journalisme, je n’insulte personne et je n’ai jamais été maltraité » explique-t-il. Un exemple qui contraste avec le cas des journalistes Ahmet Þık et de Nedim Þener, tous deux impliqués dans l’affaire Ergenekon. Selon Etyen Mahçupyan, ancien rédacteur en chef du journal arménien Agos, l’attitude d’Ahmet Þık et de Nedim Þener donne à penser qu’ils participaient bien à une opération. Il a annoncé leurs arrestations dans une chronique publiée dans Zaman, le 10 mars 2011, de cette façon : « Þener et Þık ont tous les deux écrits et écrivent actuellement des livres fondés sur des sources et des informations qui ne respectent pas les règles du journalisme. Les informations utilisées proviennent de groupes illégaux. Il est par conséquent légitime de demander qui en est le véritable auteur. Le livre peut être rédigé par vous, mais ce que vous écrivez dépend de vos sources qui peuvent vous influencer et vous manipuler. » M. Mahçupyan a conclu son article de cette manière : « L’argument mis en avant par les partisans de Þener et Þık est sans valeur. La véritable question à se poser est de savoir si leurs activités relèvent du journalisme. Malheureusement, leurs attitudes nous font penser qu’ils font partie d’un réseau plus important. »


Alper Görmüş : « Ce livre n’est pas digne d’Ahmet Þık »

Alper Görmüş

M. Alper Görmüş, l’ancien rédacteur en chef de la revue Nokta où Þık travaillait en 2007 et qui a été sévèrement critiqué suite à l’arrestation de Þık pour ne pas l’avoir défendu, avait déclaré le 11 mai à Istanbul que son livre n’a « pas beaucoup de contenu » et que c’est un livre de propagande qui n’apporte rien de nouveau. « J’espère, avait-il poursuivi,qu’Ahmet sera relâché pour que nous puissions en discuter. Même si ce livre ne contenait rien d’intéressant, les gens pensent que des scoops y sont cachés et que c’estpour cette raison que le mouvement Gülen a tout mis en œuvre pour en empêcher la parution. Je pense que c’est une erreur. » Selon lui, « le procureur a le droit de chercher des notes d’un manuscrit non publié saisi à Oda TV, mais j’estime que c’est une erreur grave de sa part d’avoir empêché la publication de ce livre. »



Gülen acquitté des charges contre lui dès 2008

Dans une accusation lancée le 30 août 2000, Nuh Mete Yüksel, à l’époque procureur en chef de la cour de sûreté d’Ankara, demandait la condamnation de Gülen suivant l’article 7/1 de la loi antiterroriste n° 3713 et affirmait que Gülen était impliqué depuis 1989 dans des activités visant à établir une organisation illégale afin de créer un Etat religieux. Sa condamnation comportait les accusations que l’on retrouve aujourd’hui dans les écrits de ceux qui pensent que Gülen est intouchable. Il lui était notamment reproché de vouloir « créer une dictature islamique », « éradiquer la République turque » ou vouloir « éduquer des jeunes qui seront favorables à un islam politique en Turquie. » L’acte d’accusation ne faisait en aucun cas référence à des faits qui constitueraient une violation de la loi antiterroriste. Il ne reprochait pas non plus à Gülen, très connu pour son engagement pour le dialogue interreligieux et pour son opposition au terrorisme, de vouloir user de la violence. Les charges comprises dans l’accusation prétendaient se baser sur les opinions de Gülen énoncées dans les médias et sur ses activités. Il leur sera répondu que les propos incriminés de Fethullah Gülen ont été coupés et décontextualisés. La 11e haute cour de sûreté d’Ankara a acquitté Gülen le 5 mai 2006 en raison d’allégations infondées. Suite à l’appel fait par la partie adverse, l’acquittement a été confirmé le 5 mars 2008. Le bureau du procureur de la cour d’appel a protesté contre ce verdict le 4 avril 2008 mais la chambre de la cour d’appel a rejeté la demande du bureau du procureur le 24 juin 2008, rendant l’acquittement définitif. La décision du Comité Général Pénal de la Cour d’Appel Suprême signifie qu’aucune plainte ne peut être portée contre lui pour les mêmes raisons, sauf si le procureur affirme que l’offense a été répétée.

http://fr.zaman.com.tr/article/fethullah-g%C3%BClen-est-il-intouchable

Le livre d'Ahmet sik "imamin ordusu" aussi appelé "dokunan yanar" disponible ici.
http://www.2shared.com/document/C355_jSF/dokunan_yanar.html
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