40 visiteur(s) et 0 membre(s) en ligne.
  Créer un compte Utilisateur

  Utilisateurs

Bonjour, Anonyme
Pseudo :
Mot de Passe:
PerduInscription

Membre(s):
Aujourd'hui : 0
Hier : 0
Total : 2289

Actuellement :
Visiteur(s) : 40
Membre(s) : 0
Total :40

Administration


  Derniers Visiteurs

Anne36 : 04h14:50
murat_erpuyan : 1 jour, 06h18:49
administrateu. : 1 jour, 12h53:27
opak : 2 jours
lalem : 3 jours


  Nétiquette du forum

Les commentaires sont sous la responsabilité de ceux qui les ont postés dans le forum. Tout propos diffamatoires et injurieux ne sera toléré dans ces forums.


Forums d'A TA TURQUIE :: Voir le sujet - Economie turque
Forums d'A TA TURQUIE Index du Forum Forums d'A TA TURQUIE
Pour un échange interculturel
 
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs    

Economie turque
Aller à la page Précédente  1, 2
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forums d'A TA TURQUIE Index du Forum » La vie sociale, économique & politique en Turquie mais aussi en France
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
bendeniz
Advanced Expert
Advanced Expert


Inscrit le: 17 Nov 2014
Messages: 252

MessagePosté le: 09 Sep 2018 21:53    Sujet du message: Répondre en citant

En ces jours où la Turquie connait une crise économique le dossier "économie turque" n'a pas été actualisé depuis 2013 !!!

Déjà ici, à l'époque, le constat était sévère.

J'ai trouvé sur ce site un papier de France 24 qui résume bien la situation :

Du prix du soudjouk à celui de l’iPhone, les Turcs face à la chute de la livre

http://www.ataturquie.fr/du-prix-du-soudjouk-a-celui-de-liphone-les-turcs-face-a-la-chute-de-la-livre/

Et puis faut lire aussi la contribution de M. Erpuyan :
http://forum.ataturquie.fr/modules.php?ModPath=phpBB2&ModStart=viewtopic&t=3810&start=45&t=3810&start=45&sid=89f21ea34f1f444d9135bcdabd7ca1ce
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 02 Mar 2019 1:37    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:

Les exportations de la Turquie dopées par la dépréciation de la livre turque

par https://www.econostrum.info/Les-exportations-de-la-Turquie-dopees-par-la-depreciation-de-la-livre-turque_a25299.html


TURQUIE. Après avoir dégradé l'évaluation pays de la Turquie en C (risque élevé) en juin 2018, la Coface relève un ralentissement de la dynamique de l'industrie dont le rythme de croissance est tombé à 1,6% en 2018 contre près de 9% en 2017.

Dans une publication, livrée vendredi 1er mars 2019, l'assureur crédit français (1,4 mrd € de chiffre d'affaires en 2018 et 4 100 salariés) évoque pour l'expliquer "une demande interne moins soutenue, des coûts d'emprunt plus élevés et la dépréciation de la livre". Les prix à la production ont connu une hausse annuelle record en septembre 2018 et les prix à la consommation ont bondi de 24%. En octobre 2018 l'inflation progressait même de 25,2% par rapport à octobre 2017 révélait l'Institut turc de statistique.

Cette dépréciation de la livre engendre par contre une nette accélération de ses exportations (+7% à 168 mrds$ de 2018 à 2017). Et ce, grâce notamment aux secteurs de la chimie (+17%), l'automobile (+12%), le papier (+11%) ainsi que le textile-habillement (+4,7%) et les produits alimentaires (+4%). L'automobile représente désormais 17% du total des exportations (50,3% des véhicules à moteur sont expédiés dans des pays de l'Union européenne), suivie par le textile-habillement (16,3%) et les métaux (11%).

Un nouveau programme économique

Pour l'auteur de l'étude, Seltem Iylgün, économiste de la Coface pour le Moyen-Orient et la Turquie, le nouveau programme économique lancé par le gouvernement en septembre 2018, basé sur la hausse des exportations, va permettre au pays d'"entrer dans une période de rééquilibrage entre 2019 et 2021, basé sur des taux de croissance stables et une réduction des déficits du compte courant".

Les données récentes reflètent cette perspective souligne-t-il. La Turquie a enregistré un excédent total de 7,3 mrds$ du compte courant entre août et novembre 2018 et le déficit total du compte courant a été ramené de 47,3 mrds$ en 2017 (soit 5,5% du PIB) à 27,6 mrds$ (3,3% du PIB). "Le déficit est principalement lié à la baisse de l'activité domestique plutôt qu'à une faible dépendance du système production turc sur les biens intermédiaires et les matières premières importées", précise le rapport.

Voir l'étude de la Coface sur la Turquie
https://www.econostrum.info/attachment/1332948



Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 14 Juil 2019 17:05    Sujet du message: Répondre en citant

Après le l
l'économie turque reste dans une zone de turbulence en attendant les sanctions américaines suite à la livraison des S-400 par la Russie.

Dans ce contexte prenez connaissance de l'article Daron Acemoglu


https://66.media.tumblr.com/255eed465ade0fba44ecd9bbf59faa41/tumblr_psbkcixD6x1s56i1ho1_1280.jpg



https://66.media.tumblr.com/cc15a1e2d0d059ef201e986c84c2571e/tumblr_psbkcixD6x1s56i1ho2_1280.jpg




<


Dernière édition par murat_erpuyan le 05 Fév 2021 21:53; édité 1 fois
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 04 Aoû 2019 2:34    Sujet du message: Répondre en citant

Le papier paru dans la Tribune "La Turquie face à 3 graves déséquilibres économiques" contient aussi une présentation vidéo. Des observations justes mettent au jour la situation actuelle de l'économie turque.


Citation:
Les exportations de haute technologie comme l’aérospatial, l’informatique, les produits pharmaceutiques et les instruments scientifiques représentent 2,5% du total des exports de produits manufacturés du pays. Un niveau très faible, nettement inférieur aux autres grands émergents, notamment la Chine.


Allez la Chine c'est à part mais la Turquie est derrière le Brésil et l'Inde aussi...

Lisez et visionnez la vidéo :

http://bit.ly/2YG3hqo





<
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 05 Fév 2021 21:52    Sujet du message: Répondre en citant



&



source :
https://fr.tradingeconomics.com/country-list/interest-rate?continent=europe
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 31 Déc 2021 1:53    Sujet du message: Répondre en citant

La livre turque termine lanterne rouge des devises émergentes

Xavier Diaz 29/12/2021 L'AGEFI Quotidien / Edition de 7H

La devise reste très volatile après les annonces d’Ankara et la crainte d’un arrêt des interventions de la banque centrale. Les monnaies d’Amérique latine souffrent aussi.

https://bit.ly/3pIc3Fs



<
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
cengiz-han
V.I.P
V.I.P


Inscrit le: 12 Jan 2008
Messages: 14014
Localisation: Paris

MessagePosté le: 01 Fév 2022 18:26    Sujet du message: Répondre en citant

La nouvelle politique économique turque
28/01/2022
La politique monétaire et de change en Turquie confrontée à l’instabilité financière : ressorts et conséquences.
par
François FAURE

in
https://economic-research.bnpparibas.com/ecotvweek/fr-FR/nouvelle-politique-economique-turque-28/01/2022,c36868

!
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 09 Juin 2025 16:18    Sujet du message: Répondre en citant

Ce dossier "économie turque" dort depuis 2021; pourtant la situation économique continue à dégrader...

Quand j'étais à l'Université la Turquie faisait partie de rare pays autosuffisant. J'avais préparé un mémoire.

L'autre jour j'ai collecté pleins d'info sur cette notion "autosuffisance" quand j'ai sur Géo ce papier : "Le Guyana : un modèle d'autosuffisance alimentaire"

Et Chatgpt fait un bon condensé sur la Turquie à partir des infos collectés à ma demande et suivant mes commentaire. Le voici :



De l'autosuffisance à la dépendance : la Turquie agricole sous pression politique et commerciale


Pendant les années 1960 à 1980, la Turquie figurait parmi les rares pays au monde pouvant revendiquer une quasi-autosuffisance alimentaire. Elle était riche d’un cheptel important, réparti sur tout le territoire, et produisait localement la quasi-totalité de ses besoins en fruits, légumes, céréales, viandes, produits laitiers. Le monde rural était encore très actif, soutenu par un État interventionniste et un modèle de production vivrière répartie.

Mais à partir des années 1990, et plus fortement encore depuis les années 2000, une véritable rupture s’est opérée. Sous l'effet des réformes libérales imposées par les institutions financières internationales, puis sous les gouvernements de l'AKP, la politique agricole turque a changé radicalement. Les subventions ont été réduites, les organismes publics (comme le TMO) affaiblis, et le pays s’est tourné vers les marchés mondiaux pour combler ses besoins.

Cette ouverture, loin d'être neutre, a engendré l’émergence d’un véritable "capitalisme d'importation loyaliste". De nombreuses sociétés proches du pouvoir ont bénéficié des contrats d'importation (viande rouge, tourteaux de soja, huile de tournesol, riz étuvé), devenant des relais économiques et financiers essentiels du régime. Elles ont joué un rôle clé dans le financement de la propagande gouvernementale, notamment à travers les médias et les réseaux de distribution alimentaire.

Dans le même temps, la situation du monde rural s’est dégradée : perte de millions d’hectares de terres agricoles (souvent urbanisées), exode rural, appauvrissement des petits producteurs. La viande, autrefois bon marché, est devenue une denrée chère, importée massivement depuis la France, l’Argentine ou le Brésil. Les kebabs bon marché contiennent de moins en moins de viande rouge locale.

Face à cette dépendance accrue, le pouvoir affiche depuis quelques années un discours de retour à la souveraineté alimentaire, surtout depuis la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine. Quelques efforts ont été amorcés : relance des serres, projets d’hydroponie, encouragement aux légumineuses. Mais sans plan national cohérent, sans rupture avec les réseaux d’importation établis, ces initiatives restent marginales.

Le journaliste et économiste Emin Çapa a illustré ces faits dans plusieurs vidéos pédagogiques. Il y dénonce l’absurdité d’importer du blé ou de l’huile dans un pays aussi fertile, et met en cause les choix politiques qui ont mené à cette situation. Pour lui, cette dépendance est un choix économique guidé par des intérêts clientélistes, et non une fatalité.


Les faits qui soutiennent que le pouvoir d'Erdogan a délaissé l'agriculutre :

1. Démantèlement des soutiens publics à l’agriculture
Après 2001, sous l’effet des réformes libérales imposées par le FMI/Banque mondiale, la Turquie a abandonné les subventions agricoles directes, jugées "inefficaces".

Résultat : les petits producteurs se sont retirés massivement de l’activité, laissant la place à une agriculture d’importation.


2. Ouverture stratégique à l’importation
Plutôt que de produire localement, l’État a :

réduit les taxes sur certaines denrées importées (notamment viande rouge, céréales, riz),

multiplié les appels d’offre internationaux, attribué les marchés d’importation à des sociétés proches du pouvoir.


3. Création d’un "capitalisme d’importation loyaliste"

De nombreuses sociétés d’import-export dans l’agroalimentaire, le transport maritime ou la distribution sont liées à des cercles proches de l’AKP.

Ces sociétés ont pu :

- se constituer des rentes de situation,

- financer les campagnes électorales ou les médias pro-régime,

- bénéficier de facilités douanières ou fiscales.

4. Propagande + dépendance = stratégie
La dépendance accrue de la population à une alimentation contrôlée par quelques grands groupes permet aussi une forme de contrôle politique indirect.

Le pouvoir nourrit la population par l’import, et remercie les importateurs avec des privilèges.

Pendant ce temps, le monde rural se vide, s’appauvrit, et devient politiquement marginalisé.


De nombreux économistes turcs ont dénoncé ce modèle
Parmi les voix critiques :

Prof. Aziz Akgül : expert en développement rural, parle de « trahison agricole planifiée ».

Ziraat Mühendisleri Odası (Chambre des ingénieurs agronomes) : alerte depuis 15 ans sur la destruction du tissu rural et les "rentes d’importation".

Prof. Vahap Tuncay : évoque un "système agro-clientéliste" dans lequel les importations remplacent la souveraineté agricole pour enrichir une élite fidèle.

En conclusion, la Turquie reste un pays au potentiel agricole immense, mais ce potentiel est aujourd’hui bridé par des choix politiques et économiques court-termistes. Rétablir une véritable autosuffisance suppose une rupture avec le système des rentes d’importation, un soutien massif aux producteurs locaux et une véritable stratégie nationale de souveraineté alimentaire.


Voici quelques vidéos où Emin Çapa aborde ces sujets :

"Bize bu zulmü yapan Recep Tayyip Erdoğan!"
Dans cette vidéo, Emin Çapa critique la politique agricole du gouvernement, soulignant que la Turquie est devenue le plus grand importateur mondial d'huile de tournesol, malgré son potentiel agricole.
https://www.facebook.com/watch/?v=463524218802359


"Ekonomist Erdoğan'dan faiz 'cahilliği' ... Emin Çapa anlattı"
Il y dénonce les incohérences de la politique économique, notamment
de blé depuis l'Inde, alors que la Turquie pourrait être autosuffisante.
https://fb.watch/A6GbByhhpq/

"Emin Çapa, Devlet Bahçeli'ye seslendi: Bu sözler hakkında ne düşünüyorsunuz?"

Dans cette intervention, il critique les décisions politiques affectant l'agriculture et l'économie turques.

Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
murat_erpuyan
Admin
Admin


Inscrit le: 30 Jan 2006
Messages: 12080
Localisation: Nancy / France

MessagePosté le: 22 Aoû 2025 0:10    Sujet du message: Répondre en citant

murat_erpuyan a écrit:
De l'autosuffisance à la dépendance : la Turquie agricole sous pression politique et commerciale

Pendant les années 1960 à 1980, la Turquie figurait parmi les rares pays au monde pouvant revendiquer une quasi-autosuffisance alimentaire. Elle était riche d’un cheptel important, réparti sur tout le territoire, et produisait localement la quasi-totalité de ses besoins en fruits, légumes, céréales, viandes, produits laitiers. Le monde rural était encore très actif, soutenu par un État interventionniste et un modèle de production vivrière répartie.

Mais à partir des années 1990, et plus fortement encore depuis les années 2000, une véritable rupture s’est opérée. Sous l'effet des réformes libérales imposées par les institutions financières internationales, puis sous les gouvernements de l'AKP, la politique agricole turque a changé radicalement. Les subventions ont été réduites, les organismes publics (comme le TMO) affaiblis, et le pays s’est tourné vers les marchés mondiaux pour combler ses besoins.

Cette ouverture, loin d'être neutre, a engendré l’émergence d’un véritable "capitalisme d'importation loyaliste". De nombreuses sociétés proches du pouvoir ont bénéficié des contrats d'importation (viande rouge, tourteaux de soja, huile de tournesol, riz étuvé), devenant des relais économiques et financiers essentiels du régime. Elles ont joué un rôle clé dans le financement de la propagande gouvernementale, notamment à travers les médias et les réseaux de distribution alimentaire.

Dans le même temps, la situation du monde rural s’est dégradée : perte de millions d’hectares de terres agricoles (souvent urbanisées), exode rural, appauvrissement des petits producteurs. La viande, autrefois bon marché, est devenue une denrée chère, importée massivement depuis la France, l’Argentine ou le Brésil. Les kebabs bon marché contiennent de moins en moins de viande rouge locale.

Face à cette dépendance accrue, le pouvoir affiche depuis quelques années un discours de retour à la souveraineté alimentaire, surtout depuis la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine. Quelques efforts ont été amorcés : relance des serres, projets d’hydroponie, encouragement aux légumineuses. Mais sans plan national cohérent, sans rupture avec les réseaux d’importation établis, ces initiatives restent marginales.

Le journaliste et économiste Emin Çapa a illustré ces faits dans plusieurs vidéos pédagogiques. Il y dénonce l’absurdité d’importer du blé ou de l’huile dans un pays aussi fertile, et met en cause les choix politiques qui ont mené à cette situation. Pour lui, cette dépendance est un choix économique guidé par des intérêts clientélistes, et non une fatalité.

En conclusion, la Turquie reste un pays au potentiel agricole immense, mais ce potentiel est aujourd’hui bridé par des choix politiques et économiques court-termistes. Rétablir une véritable autosuffisance suppose une rupture avec le système des rentes d’importation, un soutien massif aux producteurs locaux et une véritable stratégie nationale de souveraineté alimentaire.


<
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Forums d'A TA TURQUIE Index du Forum » La vie sociale, économique & politique en Turquie mais aussi en France Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Aller à la page Précédente  1, 2
Page 2 sur 2

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB v2 © 2001, 2005 phpBB Group ¦ Theme: subSilver++
Traduction par : phpBB-fr.com
Adaptation pour NPDS par arnodu59 v 2.0r1

Tous les Logos et Marques sont déposés, les commentaires sont sous la responsabilités de ceux qui les ont postés dans le forum.